Par Geneviève Kiliko pour Basta communication
Directrice des communications pour le Festival des traditions du monde, Valérie Saracosa se considère choyée de travailler pour ce festival pour une troisième édition. Elle admire profondément la noble mission du festival, qui permet de vivre les cultures à travers l’art, la musique, la gastronomie et plus encore. Au seuil de sa 19e édition, le Festival des traditions du monde ne cesse de se renouveler en proposant à la population des nouveautés captivantes. Du 10 au 14 août 2016, au parc Quintal à Sherbrooke, les Sherbrookois et Sherbrookoises, ainsi que les touristes de passage sont chaleureusement invités à célébrer les richesses culturelles dans ce « village du monde », qui regroupera artistes, restaurateurs, artisans et tous les curieux qui voudront bien venir s’y joindre!
Valérie et sa passion pour le milieu culturel
Toute jeune, Valérie préférait les publicités aux émissions de télévision. Elle était fascinée par les images de marque et par la façon dont on s’y prenait pour décrire les objets. Elle comprit assez tôt que le domaine des communications serait son choix de carrière. Elle commença tout d’abord un cours en infographie puis continua ses études supérieures en communication. Intéressée par plusieurs domaines et curieuse de nature, elle décida même d’effectuer un certificat multidisciplinaire, puisque la psychologie l’intéressait particulièrement. « Tout est relié, la psychologie est un bon outil pour bien communiquer, autant en publicité qu’en relations publiques. Quand j’ai terminé mes études, je cherchais à travailler dans un milieu culturel, c’était mon « dada ». J’ai débuté au Théâtre des Petites Lanternes. Suite à cela, j’ai d’abord été engagée pour le Festival cinéma du monde, puis le Festival des traditions du monde de Sherbrooke. », mentionne-t-elle. « J’admire beaucoup le festival, c’est vraiment beau de faire vivre la culture à travers l’art, c’est magique! C’est un privilège pour moi de travailler ici. », renchérit-elle.
Un nouveau chapiteau thématique pour les friands de culture nord-américaine : « Le Shack d’Amérique »
Cette année, le festival offrira une vingtaine de spectacles au nouveau site nommé « Le Shack d’Amérique ». Cette nouvelle thématique met en relief la culture d’Amérique du Nord et des styles musicaux provenant des Premières Nations, de la Nouvelle Orléans, du Québec et de l’Acadie seront au rendez-vous! Édith Butler présentera des chansons de son album intitulé « Le Retour » ainsi que des classiques incontournables de sa carrière. « Ce qui est bien avec le festival, c’est qu’on ne fait pas seulement que se « maintenir ». On suggère, année après année, de nouvelles choses », confie Madame Saracosa. Des groupes tels que Dan Livingstone and the Griffintown Jug Addicts, De Temps Antan, Dylan Perron et Élixir de Gumbo feront partie des premiers artistes qui inaugureront ce nouveau site enchanteur qui saura en séduire plus d’un!
Le travail de Basta communication
Depuis que Madame Saracosa est en poste au Festival cinéma du monde et au Festival des traditions du monde de Sherbrooke, Basta communication s’occupe de l’image de la campagne, mais aussi de la brochure de l’édition, du site Internet et du volet publicitaire. « L’image de la campagne est très importante, c’est le point d’ancrage pour l’image de marque et ses dérivés. L’équipe de Basta a bien répondu à nos attentes. Ils ont une très belle écoute et ils comprennent bien nos réalités. Nous sommes un diffuseur, certes, mais nous avons aussi notre personnalité, notre couleur,
qui se reflète dans la conception des thèmes visuels que Basta communication a créés pour nous. Année après année, nous développons une plus grande complicité avec eux. », affirme Madame Saracosa.
Des mesures écoresponsables qui perdurent en 2016
L’année dernière, le Festival des traditions du monde de Sherbrooke a eu la chance d’avoir une équipe verte (50 bénévoles) pour collecter les matières recyclables avec la collaboration de la ville de Sherbrooke. Pour procéder à cette collecte, 55 îlots de récupération à 3 voies (recyclables, compostables, déchets) étaient installés sur le site avec 15 bacs roulants verts et 4 stations d’eau. De plus, des huiles usées provenant des kiosques de restauration ont été récupérés avec la compagnie SRH Récupération Inc. Les restaurateurs se doivent obligatoirement d’utiliser une vaisselle compostable et une vaisselle réutilisable pour les activités bénéfices. Ces mesures seront poursuivies pour l’année 2016.
Les ateliers et « Le fabuleux Cirque Jean Coutu »
Plusieurs ateliers de toutes sortes seront présentés pour les tout-petits, mais aussi pour les plus grands! « On souhaite qu’il y ait des échanges entre les gens, entre les cultures, entre les artistes et la population générale. C’est très important pour nous, car les gens viennent aussi au festival pour cet aspect. », souligne Madame Saracosa. Des ateliers de chants, d’instruments de musique, de danse et de bricolage sont offerts à tous.
Cette année, une autre nouveauté : « Le fabuleux Cirque Jean-Coutu ». Ce cirque présentera le spectacle « Siméon rêve de cirque », où 7 artistes seront en vedette. Les enfants pourront participer à des ateliers de jonglerie, de fil de fer, de maquillage, etc. « On a même des ateliers de mimes et des écoles de danse de la région qui viennent proposer différents styles pour la fin de semaine. De plus, pour les enfants, ils seront invités à des ateliers sur la thématique des masques de dieux aztèques. », dit Madame Saracosa.
Les navettes et l’autobus pour se rendre au festival
Au cours du festival, le transport en commun sera à moindre coût pour ceux et celles qui désirent s’y rendre (1,00$). De plus, des navettes gratuites seront disponibles aux Galeries Quatre Saisons, à la place Fleurimont et au stationnement du cégep de Sherbrooke. L’entrée est gratuite pour les 14 ans et moins, sinon au coût de 5$ pour une journée. Il est aussi possible de se procurer un passeport de 5 jours pour 10$ en prévente (jusqu’au 7 août) ou pour 15$ à partir du 8 août. En espérant vous y voir en grand nombre!
Félicitations à Valérie et à Basta. Votre travail donne vraiment envie d’aller passer la semaine au Festival 🙂
Merci Christian pour tes mots d’appréciation. Je peux te confirmer que le FTMS en vaut le détour.